The fact that I have a PhD while I knew that I wouldn’t use it quickly after I begun, thus loosing years of my life is the proof that I’m dumb as a rock. Fitting for ChatGPT.
Israel is a country. Fascism is a type of government.
You can want the end of the fascist government without wanting the end of the country.
A two state solution is one possibility, but there is no strict requirement that it is the only or best way to serve the needs of those involved.
It’s true. But it’s not for us to decide.
I think you didn’t understood me. I’m criticizing Israel. It’s a criminal state.I just say that to criticize Israel and saying that Israel.shouldn’t exist are two different things.
Israel is a lot of things, but not an ethnostate. Falashas and Sefardim aren’t white, and they’re recognized as citizens as much as Ashkenazim, at least legally (there is racism between Jews in Israel too, but it’s the case everywhere).
I don’t understand why Israel is the only criminal State in the world that progressive people want totally destroyed. Russia, Iran, Syria, … are imperialist criminal states too, and progressive people “only” want their government changed. I want the fascist government of Israel overthrown, but I have no right to call for the destruction of the country itself. The only difference is Judaism.
If the Jew people of Palestine want the independence, who are we to deny it? The only moral solution in this case is the two states solution.
Thus you’re denying the right of self determination for the Jew people. QED.
It would be replaced by what?
I never saw a strong international pressure to make Israel comply.
The goal should be the two states solution. It won’t be possible if there isn’t a strong international pressure on Israel. Again, Israel is a criminal state and should be treated as such. So is Russia, and nobody publishes memes on how Russia as no right to exist.
Denying the Jews the right to self-determination that all other peoples have is antisemitic.
Israel is a criminal state that should be stopped. But we can do that, we should do that, without antisemitism.
« Emmanuel Macron, qui a déclenché cette dissolution pour piéger les partis, s’est piégé lui-même »
Solenn de Royer
En accélérant la recomposition politique, la dissolution de l’Assemblée nationale, joue aussi un rôle de révélateur pour le président de la République, qui voit ressurgir, plus brutal encore, le clivage droite-gauche qu’il a toujours voulu gommer, explique, dans sa chronique au « Monde », Solenn de Royer.
Lundi 10 juin, au lendemain de l’annonce surprise de la dissolution de l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron se rend à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), ville martyre, dans le cadre des célébrations du 80e anniversaire de la Libération. Il croise un grand patron, familier de l’Elysée, qui lui glisse un mot d’encouragement : « Ça va, pas trop dures, ces journées ? » Le chef de l’Etat sourit : « Mais pas du tout ! Je prépare ça depuis des semaines, et je suis ravi. Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes. Maintenant on va voir comment ils s’en sortent… »
La présidence dément cet échange : « Les propos prêtés anonymement à Emmanuel Macron, rapportés dans le journal Le Monde, n’ont pas fait l’objet de vérification auprès des équipes de l’Elysée, ils ne sont pas conformes à la parole du Président. » Le Monde maintient ses informations.
Emmanuel Macron a toujours laissé entendre qu’il méprisait la politique et ses représentants, lui qui n’a jamais été élu avant d’accéder à l’Elysée. En 2016, la « grande marche » lancée pour sonder les Français, avant l’élection présidentielle, avait, selon lui, permis de mesurer la défiance de ces derniers envers la politique, perçue comme source de divisions et de blocages, cause du dysfonctionnement du système depuis trente ans. La « start-up nation » promise par le candidat d’En marche ! serait « dépolitisée », « désidéologisée », visant l’efficacité. « Je n’aime pas la politique, j’aime faire », avait-il confié en 2017 à l’écrivain Philippe Besson, devant lequel il décrivait les élus et chefs de parti comme « des commerçants qui tiennent un bout de rue ».
Le 12 juin, lors d’une conférence de presse destinée à expliquer les ressorts d’une folle dissolution, il a de nouveau fustigé les partis et leurs supposées combines. « Depuis dimanche soir, les masques tombent », a-t-il lancé, seul sur une scène blanche, devant ses ministres au grand complet qui l’écoutaient, sages ou glacés. « C’est aussi une épreuve de vérité entre ceux qui choisissent de faire prospérer leur boutique et ceux qui veulent faire prospérer la France. »
C’est pourtant un tout autre visage qu’a montré Emmanuel Macron depuis son arrivée à l’Elysée, en 2017. Après avoir tancé « l’ancien monde », à qui il reprochait – parfois avec justesse – tous les maux, il a lui-même donné le sentiment de se perdre dans la tactique politicienne, obsédé par son projet d’éradiquer la gauche et la droite pour installer son face-à-face avec les populismes, qui garantissait son pouvoir. Les macronistes déçus ont coutume de dire que leur ex-champion, qui était attendu comme un grand réformateur et un piètre politicien, s’est montré à l’inverse un réformateur tiède, doublé d’un redoutable tacticien qui se passionne en réalité pour la « popol ».
Vœu paradoxal
Destinée à remettre le président de la République au centre du jeu, alors qu’il se trouvait acculé (et défait), et relancer un quinquennat enkysté par la majorité relative à l’Assemblée, la dissolution, ourdie à l’Elysée, est d’ailleurs l’acmé du « coup » politique. Ayant observé, notamment depuis le 7 octobre 2023 et l’attaque du Hamas contre Israël, les profondes divisions de la gauche et la mort clinique du parti Les Républicains (LR), Emmanuel Macron a voulu pousser son avantage, espérant un nouveau face-à-face entre ses candidats et ceux du Rassemblement national (RN), rejouant le « moi ou le chaos ».
Cette dissolution visait aussi à ralentir ce temps qui lui est désormais compté, dès lors qu’il ne peut plus se représenter. Lui qui ne supporte pas qu’on puisse un jour lui succéder en profite pour contrarier les plans de ses adversaires. Raphaël Glucksmann, qui se félicitait d’avoir rouvert un espace social-démocrate, LR, qui prévoyait de censurer le budget à l’automne, les prétendant à sa succession, Edouard Philippe le premier, dans les starting-blocks… Tous se trouvent bousculés, voire entravés. Le chef de l’Etat ne s’en est pas caché, le 12 juin, amusé : « Si les ambitions personnelles des uns et des autres se voient contrariées, dont acte ! »
Officiellement, M. Macron défend sa dissolution en invoquant un besoin de « clarté ». Il entend débusquer les « incohérences » des deux blocs, tentés de nouer des « alliances contre nature » (la gauche de gouvernement avec les « insoumis », certains LR avec le RN), qu’il met sur un pied d’égalité, se posant comme le seul candidat de la modération et de la raison. « Ce moment est celui de la clarification », a-t-il insisté.
Un vœu paradoxal pour ce prince de l’ambiguïté qui, depuis sept ans, avance masqué, ayant érigé le « en même temps » en corps de doctrine, changeant de masques ou de rhétorique (y compris sur l’extrême droite et le front républicain) en fonction de ses intérêts du moment, sans qu’on en sache jamais de quel côté la pièce va tomber. La présidentielle de 2022 avait été un modèle du genre : faisant campagne à droite avant le premier tour pour cannibaliser l’électorat de Valérie Pécresse, il a fait campagne à gauche au second pour séduire une partie des électeurs de Jean-Luc Mélenchon, passant de la proposition d’une retraite à 65 ans au slogan (lâché lors de son meeting du 2 avril 2022), « Nos vies valent plus que tous leurs profits », chipé à… Olivier Besancenot.
Puis, après avoir dit au peuple de gauche qu’il leur était redevable de sa victoire contre Marine Le Pen, il a fait voter une loi sur l’immigration (introduisant la préférence nationale) avec le RN. S’il n’est pas responsable de la décomposition du paysage politique, M. Macron l’a accélérée, multipliant les coups de boutoir aux partis de gouvernement, et rendant impossible toute alternance raisonnable. Mais s’il a su prospérer sur ces ruines, il n’a rien construit en retour, et se retrouve aujourd’hui pris au piège au milieu des décombres.
Le bloc central menacé d’effacement
Comme souvent, Macron reçoit en boomerang ce qui l’a lancé. A l’aune de sa dissolution, il espérait briser la gauche, il obtient l’effet inverse, ses différentes composantes ayant conclu jeudi un accord électoral, sous la bannière du Nouveau Front populaire. Il a voulu effacer le clivage droite-gauche, celui-ci renaît, plus radical et extrême encore. La recomposition qu’il appelle de ses vœux a bien lieu mais pas autour de lui. Le bloc central se retrouvant pris en sandwich entre les deux autres blocs, menacé d’effacement.
Last but not least, lui qui se vantait d’être le meilleur rempart contre le RN, risque de voir le parti d’extrême droite arriver en tête des législatives. Et s’il voulait s’acheter du temps, beaucoup feront pression pour qu’il quitte l’Elysée, s’il hérite le 7 juillet d’une cohabitation ou d’une Chambre introuvable. Au fond, Emmanuel Macron, qui a déclenché cette dissolution pour piéger les partis, s’est piégé lui-même. Sans doute l’a-t-il compris : lui qui se décrit comme un « indécrottable optimiste » a fait un joli lapsus mercredi, lors de sa conférence de presse, en évoquant les « autres forces de gouvernement », alors qu’il voulait désigner les « autres forces d’opposition ». Peu après, un projecteur est venu brutalement éclairer la scène, le faisant cligner des yeux et demander, gêné, d’où venait cette lumière « agressive ». Pour Macron aussi, cette violente secousse, qu’il a lui-même déclenchée, joue comme un révélateur
Ma circo est “allouée” à LFI par le NFP. Je suis très critique envers LFI, mais ils auront ma voix et je me suis même proposé pour recevoir des procurations. Mais vraiment, vivement que Mélenchon, qui a fait beaucoup de bonnes choses mais est un problème aujourd’hui, prenne sa retraite.
Si fossoyage il y a, ce que je ne pense pas, ce sera la faute de la direction de LFI qui préfère investir des hommes violents que des personnes exprimant de légers désaccords…
Hayer est sous-estimée ; elle a tout le gouvernement qui fait campagne.
If for you “people” is a genetic thing, you’re also racist.
And I hope that, one day, Israel will react in the same way with Palestine. But Germany still exists, and Israel should too.
Jews didn’t steal Palestine. That’s a negation of history: you use a shovel three times anywhere in Israel and you find Jewish remains and artifacts. Cities like Jerusalem had a Jewish majority for ages before 1948. To negate that is antisemitic.
But to find a state legitimate doesn’t mean that the actions of this state are. Germany and Turkey committed genocides, and nobody want the destruction of these countries. France and Britain colonized other countries and committed a lot of crimes there but nobody want the destruction of these countries. Russia or Japan committed a lot of war crimes nobody want the destruction of these countries.
Israel is a criminal state committing genocide and other war crimes and should be stopped by all legal means necessary. We should stop arming them. Ee should stop financing them. We should arrest Netanyahu. Maybe we even should send blue helmets. We should fight for a free, independent and peaceful state of Palestine. But without antisemitism, thus without denying the right of self-determination for the Jewish people.
I hate Google and try not use it anymore but there’s still one thing I can’t do without : Google Maps.