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Cake day: June 11th, 2023

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  • Ça fait bientôt 3 ans et demi que j’ai le modèle blizzard, ça résiste plutôt bien oui, la toile commence à s’abîmer là où elle est tirée par le lacet pour faire le nœud. Quand ça empirera je pourrais tester leur retour pour qu’ils les recycle.

    Niveau résistance à la pluie on ne peut pas les qualifier d’imperméable mais je n’ai jamais eu de soucis avec des petites pluies, j’ai déjà eu les pieds mouillés sur les très grosses. Aucune idée pour la boue par contre.

    Pour le lavage je ne crois pas les avoir déjà mis en machine, mais à la main ça se fait bien. Elles sont en plastique donc c’est plutôt facile.

    Je les mets vraiment très souvent, avec une autre paire d’Ector classique (qui doit avoir ~1 an et demi et qui sont encore comme neuves), c’est quasiment tout ce que je mets. Les blizzard sont toutes saisons (sauf pour les jours très froids, j’ai mis ça la plus part du temps l’hiver en ville quand même) et les classiques mi-saison et été. Pour modèle que tu as relevé c’est sûrement similaire aux classiques.

    J’ai trouvé la taille des blizzard meilleur par rapport aux classiques où j’ai dû rajouter une semelle pour y être vraiment bien (pas assez serré à mon goût)







  • Personnellement je pense qu’à gauche est peut-être moins dangereux dans les zones sans infrastructures où on roule comme une voiture et où c’est facile de faire le choix de dépasser par gauche. Mais ça se limite aux zones sans infrastructures. Dès qu’il y a une bande cyclable c’est le plus souvent à droite. Si en tant que cycliste on se met à doubler c’est dans des situations où les voitures sont lentes, que ce soit gauche ou droite, j’ai tendance à faire au plus facile suivant ma position plutôt que de zigzaguer, en ralentissant et m’assurant que la voiture ne peut pas tourner dans ma direction à cet endroit. Les infrastructures étant tellement différentes suivant les rues, il est difficile de toujours faire d’une manière unique et optimale.













  • D’un point de vue contraire on peut voir les quotas sur ce genre de sujet comme quelque chose de démocratique et équitable.

    Justement imposer un quoata à tous, riche ou pauvre, tous ont le même droit de prendre l’avion sur une vie.

    Au contraire si aucun quota n’est imposé, et qu’on taxe (enfin :)) l’avion correctement. Qu’on impose une chute des nombres de vols par le prix seulement, alors les pauvres feront tout le sacrifice, les riches continueront, et on a pas un superbe contexte social dans cette situation.

    Évidemment c’est valide seulement si ça s’applie à tous vols, jets privés compris.

    Après ces deux outils, taxe et quotas, peuvent faire parti de la solution et ne s’opposent pas forcément.