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Les tournages, déjà ralentis, sont complètement à l’arrêt depuis l’échec des négociations entre syndicat et studios concernant une revalorisation des salaires.
Les syndicats du film aux US ont des précurseurs dès les années 20 et se sont formalisé en 1933 au moment de la création de la Screen Writer’s guild of America puis en suivant la Screen Actors Guild (aussi 1933), the Screen Directors Guild (1936) et d’autre pour les diverses branches du métier.
Comme elles ont plutôt bien servi les intérêts de leurs membres elles sont resté puissante au point d’avoir des accords avec les studios qui ne peuvent recruter que des membres du syndicat via des contrat types.
Les studios pourraient effectivement tenter de recruter hors syndicat mais ils perdraient accès à tout les autres scénaristes, acteurs, directeurs et les “briseurs de grève” se verraient immédiatement ostracisé, interdit de rejoindre la guilde et donc dans l’incapacité de travailler dans des productions “union”. C’est quand même un très gros risque a la fois pour un studio qui est assuré de faire faillite si il ne réussi pas à briser le syndicat et pour l’auteur, acteur, directeur qui tenterait le coup car il jouerait sa carrière a pile ou face.
Les syndicats du film aux US ont des précurseurs dès les années 20 et se sont formalisé en 1933 au moment de la création de la Screen Writer’s guild of America puis en suivant la Screen Actors Guild (aussi 1933), the Screen Directors Guild (1936) et d’autre pour les diverses branches du métier.
Comme elles ont plutôt bien servi les intérêts de leurs membres elles sont resté puissante au point d’avoir des accords avec les studios qui ne peuvent recruter que des membres du syndicat via des contrat types.
Les studios pourraient effectivement tenter de recruter hors syndicat mais ils perdraient accès à tout les autres scénaristes, acteurs, directeurs et les “briseurs de grève” se verraient immédiatement ostracisé, interdit de rejoindre la guilde et donc dans l’incapacité de travailler dans des productions “union”. C’est quand même un très gros risque a la fois pour un studio qui est assuré de faire faillite si il ne réussi pas à briser le syndicat et pour l’auteur, acteur, directeur qui tenterait le coup car il jouerait sa carrière a pile ou face.